Vous êtes un travailleur ayant le statut de travailleur frontalier, vous avez fait le choix pour votre carrière d’exercer votre profession dans un pays frontalier de votre pays de résidence. Un nombre toujours plus important de travailleurs Français, Allemands et Italiens font le choix d’exercer leur profession en terre Suisse. Ce choix de mode de vie, bien que présentant de nombreux avantages financiers pour cette catégorie de travailleurs (salaires plus importants en Suisse) comporte aussi certaines contraintes comme par exemple en fin de mois lors de la réception du salaire sur le compte bancaire Suisse.
La Suisse ne faisant pas partie de la zone Euro, les salaires versés aux travailleurs frontaliers le sont en devise nationale : le Franc Suisse CHF. Les différents travailleurs frontaliers résidants en France, en Italie ou encore en Allemagne, se voient dans l’obligation de changer tout ou partie de leurs salaires en devise locale : EURO. C’est au moment de choisir les modalités de change CHF- EURO que les choses peuvent prendre une mauvaise tournure si le travailleur frontalier ne fait pas le choix adéquat et s’oriente vers une mauvaise alternative.
Différentes études diligentées par des professionnels de la Finance, ont permis de mettre à jour un comportement type de la méthode de change de devises du travailleur frontalier. Ce qui est assez frappant et caractéristique dans ces études, c’est le fait que quelle que soit son origine (France, Allemagne ou encore Italie), le travailleur frontalier a tendance à procéder de la même façon pour transformer son salaire (perçu en CHF) en Euro. Le moins que l’on puisse dire c’est que malgré le fait que cette méthode de change (que nous allons développer par la suite) est exercée par quasiment 3 travailleurs frontaliers sur 4, elle est loin d’être la méthode la plus avantageuse pour les intérêts du travailleur frontalier.
Chaque fin de mois, le travailleur frontalier retire son salaire ou une partie de celui-ci en CHF dans sa banque Suisse, afin de se rendre aux guichets trop souvent bondés d’une grosse enseigne de change pour procéder au change de ses liquidités en Euro. Le travailleur frontalier procède de la sorte car il pense que le professionnel du change chez qui il se rend, représente la meilleure option pour avoir accès à des taux de change compétitifs.
Hors les études comportementales réalisées par les experts de la finance ont montré que le travailleur frontalier ne se renseigne que trop rarement sur les taux de conversion offerts par le cambiste chez qui il se rend, sans prendre en compte que d’un jour à l’autre la fluctuation constante des taux de change peut avoir des impacts importants sur son pouvoir d’achat. La raison pour laquelle le travailleur frontalier opte pour cette solution de change et pas une autre est relativement surprenante, en effet, les études comportementales ont laissé transparaitre que si le travailleur frontalier procède de cette façon, c’est en grande partie qu’inconsciemment, il agit par imitation des autres travailleurs frontaliers.
Le frontalier se rassure en quelque sorte en imitant le comportement du groupe, et c’est cette attitude qui chaque mois le prive de réaliser des économies conséquentes en ne choisissant pas la méthode de change adéquate qui pourrait rapidement lui permettre d’accroitre son pouvoir d’achat. Le travailleur frontalier n’a pas pleinement connaissance de l’ensemble des possibilités qui sont à sa disposition en matière de change des devises.
A la décharge du travailleur frontalier, si ce dernier en grande majorité, n’a jusqu’alors pas adopté la solution de change servant le mieux ses intérêts, c’est en partie par un véritable manque de moyens mis à sa disposition. En effet, partir à la recherche du bureau de change qui offre les meilleurs taux de change peut s’avérer fastidieux voire impossible à accomplir au vue du nombre important de professionnels du change sur le marché; et si l’on ajoute à ce paramètre la notion de fluctuation constante des devises entre elles, trouver la meilleure offre de change pour un travailleur frontalier devient tout simplement illusoire sans moyens mis à sa disposition.
En créant meilleurtauxdechange.ch, nous avons souhaité permettre au travailleur frontalier d’accroitre son pouvoir d’achat en adoptant de meilleures alternatives en matière de change. Dans cette optique, nous avons le plaisir de mettre à la disposition de la communauté des travailleurs frontaliers, un comparateur de taux de change gratuit et très simple d’utilisation. Ce comparateur de taux de change permet au travailleur frontalier de trouver en quelques clics le bureau de change ou le professionnel du change qui lui fournira la prestation la plus bénéfique pour son pouvoir d’achat.
En pratique, le travailleur frontalier aura seulement besoin, sans inscription préalable, de renseigner les devises souhaitées ainsi que le montant qu’il veut simuler. Rapidement, le comparateur de meilleurtauxdechange.ch va lui dresser la liste des offres chiffrées des professionnels qui sont en mesure de lui fournir les prestations les plus attractives. Le travailleur frontalier n’aura plus qu’à sélectionner le prestataire proposant les meilleurs taux de change afin d’être redirigé chez le dit prestataire et pouvoir ainsi procéder à une ou plusieurs transactions qui lui feront faire des économies conséquentes.
Ainsi, grâce à meilleurtauxdechange.ch, le frontalier maximise de façon conséquente les profits réalisés sur les opérations en devises. Le travailleur frontalier a maintenant, grâce aux services gratuits de meilleurtauxdechange.ch, tous les moyens à sa disposition pour comparer les taux de change proposés par l’ensemble des professionnels du secteur, il obtient de façon anonyme et ludique les meilleures conditions de change pour transférer son salaire tous les mois, qui rappelons le, peuvent varier de plus de 3% entre 2 prestataires.